mardi 9 avril 2013

S'amuser, ou pas!

Samedi soir dernier, j'ai posté un status sur mon Facebook :


Oui, je sais, on n'est pas le lendemain matin et je m'en excuse. Le lendemain matin, j'ai dormi,puis dormi pour remettre en état de marche mes oreilles, suite aux excès sonores endurés la veille au soir.

Donc, non, la soirée de merde n'était pas due à une trop grande ingurgitation de nems, de beignets de crevette, de nouilles ou encore de poulet et légumes revenus au wok dans une sauce aigre-douce. Au contraire, nous avons très bien mangé. J'en aurais d'ailleurs repris une assiette, mais faut savoir être raisonnable dans la vie ... des fois. Non, c'est que samedi soir, Stéphane devait faire karaoké pour animer la soirée.

Malheureusement, nous sommes tombés sur une soirée où personne, ou presque, n'avait envie de prendre le micro. Il y avait bien une famille, avec deux enfants adorables, qui a pris le plancher et c'était plutôt agréable à l'oreille. La petite fille, qui devait avoir dans les 10-11 ans, chantait vraiment bien : en temps et en justesse! Ce fût cependant de courte durée.

Vers 22h, heure déjà tardive pour arriver au resto même ici en France, est arrivé une famille nombreuse, agitée et dont certains membres étaient alcoolisés. Mais pas alcoolisé "amusant", je dirais plus le genre de comportement faisant fuir les autres familles présentes dans l'établissement. Nous nous sommes donc retrouvés : notre ti-couple, les employés, la famille adorable et la famille agitée, entre les 4 murs du resto. Et vas-y que j'hurle les paroles du fond de la salle pour être certain de bien enterrer la voix de la jeune fille tentant, tant bien que mal, de continuer sa chanson. Pauvre choupette, elle a fini par déposer son micro, les larmes aux yeux.

Y a des gens vraiment pathétiques qui ne savent pas se conduire en société. Des gens qui arrivent tellement alcoolisés, inconscients et qui se foutent d'être dans un endroit public, pour laisser libre court à certaines incivilités. La petite famille adorable a fini par disparaître du resto aussi et nous nous sommes retrouvés avec le groupe de caves qui beuglait du fond de la salle.

Une des femmes du groupe est venu chercher le livre et a demandé à garder des micros sans fil à la table... ça aura été le coup de grâce, autant pour mes oreilles, ma patience que pour ma bonne humeur.

Je vous laisse sur un vidéo qui vous offre 20 secondes du calvaire enduré ce soir là. Si vous parvenez à reconnaître la chanson, vous ne gagnez rien, mais j'ose même pas donner le titre tellement l'interprétation est nulle!

Bon début de semaine!



jeudi 21 février 2013

Deux

Déjà deux semaines que je suis revenue du Québec. Ça file quand même vite le temps! Donc, deux semaines qu'on est deux dans la maison, accompagnés de nos deux chats et en plus on a fait deux sonos depuis ces deux semaines.

Nous nous sommes débarassé de nos deux matelas pour se retrouver avec un seul... mais le confort y est. Fini les matelas en mousse avec deux bases de lit séparées! Je le dirai jamais assez, j'adore IKEA!

Ça fait aussi deux semaines que j'ai arrêté la cigarette. Le 6 février, à 18h (minuit le 7 février en France donc), j'écrasais ma dernière "tueuse" à l'aéroport, juste avant d'aller passer les contrôles de sécurité avant de prendre l'avion. Étrange, car à l'aéroport, j'en ai fumé... deux! Si vous vous souvenez, je vous disais que j'avais deux sièges libres à côté de moi dans l'avion aussi ;)

J'ai donc dit adieu au tabac, mais je m'aide pour le moment de pastilles à 2mg de nicotine. Je fais toujours de la boucane*, par contre, en vapotant. Je me suis convertie à la cigarette électronique à 0% de nicotine. Quand le geste de fumer me manque trop, je prend donc ma e-cig et vapote un brin. Fini le goût et la senteur de tabac. Maintenant, ça goûte le bonbon à la fraise, la fleur d'oranger ou encore le chocolat à la menthe! En plus, je ne suis pas la seule à avoir stopé la cloppe, car ma douce moitié a arrêté aussi, un mois avant moi. Deux nouveaux non-fumeurs donc.

Bon vous voyez le topo, je suis entourée de "deux" présentement!

*Boucane : Nom féminin propre au langage populaire québécois. Il désigne tout type de fumée. Il semble que les québécois l'ait initié à partir du verbe "boucaner", lequel signifie : fumer de la viande.
-Source : Dictionnaire Québécois http://www.dictionnaire-quebecois.com/

mardi 12 février 2013

Décollage et décalage

C'est avec vingt minutes d'avance que le vol AC870 a décollé de Dorval, le 6 février dernier. Pour le même vol, à la même heure la veille, il y avait près de deux heures trente de retard. Je me souhaitais que ça n'arrive pas de nouveau pour le vol du 6! J'ai rarement vu un embarquement se faire aussi calmement et rapidement en fait. En une petite demie-heure, tout le monde qui se trouvait dans la salle d'embarquement s'est retrouvé assis dans l'avion prêt à décoller.

Il faut dire que le vol n'était pas plein. Ça aussi c'était une première pour moi. Habituellement, les vols que je prends sont pleins à craquer de passagers. Pas cette fois-ci. Je dois dire que ça aura été la plus belle traversée de l'Atlantique que j'aurai fait de ma vie! Payer le prix de la classe économique et se retrouver avec autant de place qu'en classe affaire, ça n'arrive pas tous les jours. Non, j'étais bien en classe "éco"... c'est que je n'avais pas de voisins de siège, chose rarissime dans un vol transatlantique. J'avais donc tout le confort que je n'ai jamais eu en avion et j'ai ainsi pu dormir pas loin de trois heures durant la traversée.

J'ai aussi le don d'attirer ce que les Français appellent "un gros boulet". Vous connaissez le genre de passager qui pense que tout lui est dû, que l'air qu'il respire n'est qu'à lui, qui non content d'avoir lui aussi 3 places pour se mouvoir dans l'avion, veut en plus te piquer ta rangée de sièges en rabaissant tous les dossiers de sa rangée! Pas pratique pour se lever et aller au petit coin. Ouais, il fallait que je tombe sur un gros lourd comme ça devant moi. Disons juste que l'hôtesse de l'air, qui lui a dit de remonter son siège pour que je puisse manger, n'a pas été douce avec lui. Et vlan, dans les dents! ;)

Au final, non seulement l'avion est parti plus tôt, mais il est aussi arrivé un autre vingt minutes supplémentaires en avance! J'avais donc 40 minutes d'avance sur l'horaire : débarquement à 8h05 au lieu de 8h45! Malgré l'avance, je n'étais pas fâchée de pouvoir me dégourdir les jambes. Ce qui est bien c'est que j'ai pu prendre mon temps pour aller passer les douanes (passées en 30 secondes) et attendre mes bagages... qui eux ont mis le temps d'arriver au tapis. Même avec le temps perdu à attendre et à avoir chaud (j'ai du retirer ma veste et mon gros chandail tellement il faisait chaud dans le terminal 2A!), j'ai quand même dû attendre que mon petit mari arrive. Donc mon avion aurait pu arriver en retard un peu, ça aurait été aussi bien ;)

Passer de -17 degrés Celsius pour retrouver un 8 degrés Celsius à la sortie de l'aéroport, c'est quand même bien non? Malgré l'écart de température à la hausse, j'avais quand même le frisson, la fatigue du voyage aidant. Le jour de mon arrivée, nous avons finalement fait quelques courses et avons opté pour aller manger une bonne crêpe accompagnée de cidre ensuite.

Retour à la maison, les bagages dans le salon, je ne rêvais que d'une chose : terminer ma nuit de sommeil! Je vous ai dormi ça mes amis... jusqu'en début de soirée! Ayant l'estomac creux au réveil, on a opté pour des pizzas ce soir là. Je m'étais vraiment ennuyée des pizzas du Kiosque à Pizza! J'ai été sage dans mon choix, rien de trop lourd sur l'estomac. J'ai bien fait car, malgré ma journée à roupiller, j'ai repiqué du nez après le repas!

Je ne vous parle même pas de samedi soir, où j'avais l'air d'un vrai zombie ayant la tête dans le coton toute la soirée. Mon mari ayant eu un contrat de sono au resto chinois du coin, pour fêter le nouvel an chinois, on a chargé la voiture de son stock et avons fait l'installation de tout ça, samedi après-midi. Jusque là, ça allait pour moi. C'est en soirée, entourée par la parenté et les amis, que mon cerveau s'est mis au neutre. J'ai dû leur semblé bien ennuyante, mais ma tête ne rêvait que d'une chose : un bon oreiller moelleux!

J'ai encore un petit problème de décalage horaire à l'heure d'écrire ces lignes d'ailleurs. Hier soir, j'ai refait la même chose : après dîner, hop dodo! Et j'ai filé jusqu'à ce matin à 5h30! Un jour ou deux encore et ça devrait être mieux. Je devrais me sentir moins déphasée. À mon prochain billet, je devrais être en pleine possession de mes moyens! ;)


mercredi 6 février 2013

Jour J : Décollage ce soir

Voilà, on est rendu au 6 février 2013...

Ma valise, mon sac à dos et mon sac à main son prêts. Enfin, reste quelques petits trucs à ranger, mais tout est en place.

J'ai mon passeport, mon visa et mon billet d'avion pas loin. Restera qu'à troquer mon pyjama pour mes vêtements de voyage un peu plus tard.

Pour le moment, je me contente de relaxer un peu et tenter de prendre ça cool. C'est pas évident, ce soir ce sera le vrai saut.

Pour les curieux qui aimeraient suivre mon vol sur le net (il y a plusieurs sites permettant de le faire), je vous laisse les données nécessaires:

Vol Air Canada 870
Départ à 19h55 , de l'aéroport Pierre-Eliott Trudeau
Arrivée prévue à 8h45, aéroport CDG

Bonne journée et bonne nuit!
Je vous redonne des nouvelles dès que c'est possible!


mercredi 30 janvier 2013

J-7... oscillation

À J-7 de mon départ pour la France, je peux dire que les 4 derniers mois auront été les plus étranges de ma vie.

Un enchaînement de toutes sortes de situations, joyeuses ou accablantes, vont avoir grandement contribuées à ce que je fasse cette affirmation.  Dans une même journée, je pouvais passer du rire aux larmes en claquant des doigts.

J'avais hâte de revoir parenté et amis. Après un an passé loin d'eux c'est bien normal. J'étais heureuse de les voir, de leur parler face à face, de me retrouver à table avec eux et de déconner quand on en avait l'occasion. De ce point de vue là, j'ai passé un temps merveilleux au milieu de mon p'tit monde. Et même si je n'ai pas pu vous voir, ou revoir, avant mon départ prochain, ça ne veut pas dire que je ne vous apprécie pas.

Il y a eu aussi des moments difficiles et c'est ce qui fait que de repartir m'est d'autant plus crève-coeur. J'ai comme une sensation d'égoïsme à l'idée de reprendre l'avion. Je sais que je peux apporter un support moral, même à distance. Je sais qu'aujourd'hui avec internet, les frontières se traversent aisément et qu'une simple caméra ou un clavier permet de garder contact. Reste que, dans les circonstances actuelles, j'aimerais bien pouvoir mettre au moins 2 personnes dans ma valise, afin de les garder près de moi.

D'un autre côté, j'ai hâte de me retrouver auprès de Stéphane. Tout ce chemin parcouru pour pouvoir enfin se retrouver m'aura semblé interminable. C'est quoi 4 mois dans une vie? C'est long, ça je peux vous le dire! À peine mariés, être obligé de se séparer quelques temps, pour une histoire de papiers, ce n'est pas facile du tout. Les premiers jours, ça va, on se dit que ce n'est pas la fin du monde. Mais au fur et à mesure que les semaines passent, la situation devient lourde et l'ennui se pointe le bout du nez.

Tout ça pour dire que mon cerveau est ambivalent et ne sait plus si je dois réagir avec le sourire ou avec les larmes. J'oscillerai entre ces deux états d'esprit dans les jours, voir les semaines, qui viennent. Ceux qui me diront : "Voyons, y a rien là!", je leur dirai de tenter de se mettre dans mes souliers!

samedi 19 janvier 2013

Une bonne chose de faite!

Après tant d'attente, de nuits mal dormies et presque deux semaines de torticolis, c'est fait!
Le rendez-vous à l'OFII de Montréal, pour le test sur les valeurs de la République Française, est enfin chose du passé!

Tout le stress est tombé d'un seul coup et le poids que j'avais sur les épaules est parti en 30 secondes à peine. Bon, peut-être un peu plus, mais à peine... pas plus de deux minutes dans la salle avec mon "examinatrice", ça je peux le jurer. Cinq petites questions à répondre par vrai ou faux et la sixième était de donner le nom d'un président de la République. Pour répondre à certains qui pourraient se poser la question, j'ai nommé François Hollande. Pourquoi, alors que j'aurais pu nommer n'importe lequel? Je vais être honnête, je l'ai nommé par facilité uniquement. Mon cerveau a décidé de faire grève et c'est le premier nom qui est arrivé. Je me déçois moi-même des fois...

Pourquoi est-ce que je m'en fais toujours avec ce qui n'est que question de formalité? Après avoir passé plus d'un an en tout en France dans ma vie, je ne pouvais juste pas rater ce test après tout. Mais non, il fallait encore que mon petit diable intérieur me fasse douter de mes capacités.  Le petit diable s'est fait avoir ce matin, car malgré mon cerveau lent, j'ai décroché un sans faute en bout de ligne!

Donc, ce test étant passé, je pourrai aller porter mon passeport, à compter de vendredi matin prochain, au consulat et retourner le chercher en fin de journée. Je peux donc dire que je partirai comme prévu le 6 février prochain.

En attendant, voici le portrait de ce qu'aura eu l'air mes démarches pour l'obtention de mon visa.

Les démarches, kossa donne? Et bien, ça donne ça :
- R-V dépôt de dossier au Consulat : 26 novembre 2012
- Appel à l'OFII : 27 novembre
- E-mail ou appel de l'OFII : 14 janvier 2013 (suite à mon appel, n'ayant toujours pas de convocation)
- Rendez-vous test des valeurs de la République : 18 janvier 2013, à 9h
- Dépôt de passeport au consulat : 25 Janvier 2013
- Départ officiel vers la France : 6 Février 2013, 19h55

mardi 15 janvier 2013

1... 2...3...appels plus tard!

Quand le téléphone ne sonne pas et que le e-mail reste muet, qu'on n'a pas de nouvelles quand on devrait en avoir "dans les plus brefs délais" selon ce qu'on lit sur notre feuille... et bien on rappelle.

Je n'en menais pas large. J'avais la main qui tremblotait toute seule en appuyant sur les chiffres du clavier du téléphone. Tout d'un coup qu'on me trouverait trop insistante?  Tout d'un coup qu'on me dirait de prendre mon trou? Tout d'un coup qu'on me dise que mon rendez-vous dépassera les délais? ... Tout d'un coup que je me pose juste trop de questions! C'est donc vraiment nerveuse que j'ai tenté ce que je jugeais mon ultime chance d'avoir des développements avec l'OFII.

En entendant de nouveau mon nom , puis allant voir mon "dossier", la réceptionniste de l'OFII a jugé bon de me transférer à une autre interlocutrice. La dame, bien gentille, m'a redemandé mon nom et a été un peu surprise par l'affirmation suivante :

"Je n'ai toujours pas reçu de convocation, ni par e-mail, ni par téléphone. J'ai indiqué lors de mon dernier appel que mon billet d'avion portait la date du 6 février. "

Elle a acquiescé qu'elle avait bien la date de mon départ et puis... 

Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais cette dame aurait passé un coup de fil pour me joindre il n'y a pas si longtemps, paraît-il. Ma mère m'a affirmé par la suite ne jamais avoir reçu de message pour moi, ni sur répondeur, ni en personne. La dame a peut-être fait une erreur de composition du numéro? Peut-être que le numéro n'était pas bien écrit dans mon dossier (des erreurs de frappe, ça peut arriver à tout le monde après tout) ? Toujours est-il que j'aurais eu une convocation par téléphone, mais ça ne s'est pas rendu. Donc, une chance que j'ai pris le téléphone de mon côté une nouvelle fois!

Finalement (!) , j'ai obtenu de vive voix mon rendez-vous pour passer le fameux test sur les valeurs de la République. Ça se passera donc vendredi qui vient, le 18 janvier, à 9h! 

Après avoir remercié vivement la madame au bout du fil, j'ai donc raccroché et mes nerfs ont cessés d'être tendus comme un arc. Je vous dis pas le bien que ça peut faire! Le point qui me restait de mon torticolis s'est évanoui peu de temps après cette bonne nouvelle et mon cerveau a enfin donné congé au petit hamster qui faisait "spinner" les idées entre mes deux oreilles. Je vais enfin pouvoir arrêter d'aller voir mes courriels trois, quatre, cinq fois par jour (une ou deux sera plus que suffisant à partir d'aujourd'hui)!

Maintenant, y a plus qu'à aller répondre aux questions et se dire qu'on pourra sortir de là la tête haute. J'ouvre mes détecteurs pour recevoir vos ondes positives pour vendredi 9h, 15h pour mon monde en France! ;) Je sens que ça va bien dormir ce soir!

Les démarches, kossa donne (prise 2) ? Et bien, aujourd'hui, ça donne ça : 
- R-V dépôt de dossier au Consulat : 26 novembre 2012
- Appel à l'OFII : 27 novembre
- E-mail ou appel de l'OFII : 14 janvier 2013 (suite à mon appel, n'ayant toujours pas de convocation)
- Rendez-vous test des valeurs de la République : 18 janvier 2013, à 9h
- Dépôt de passeport au consulat : ?
- Départ officiel vers la France : ?

mardi 1 janvier 2013

Voeux 2013

En 2012, j'aurai eu des hauts et des bas. Je dirais même d'extrêmes hauts et d'extrêmes bas.  Je ne vous rabâcherai pas les oreilles avec une rétrospective complète de mon année. Si vous avez lu mon blog, ou que vous faites parti de mes amis Facebook, vous avez tous vu de quoi a été faite cette année 2012, dans mon cas.

Depuis minuit, nous sommes donc entrés de plein pied dans l'année 2013 et les voeux de bonne année fusent d'un peu partout : téléphone, e-mail, Facebook (surtout). On reste assez traditionnels dans ces souhaits :

 "Joie, amour, paix, prospérité, du succès dans vos études pour les jeunes, du succès dans vos projets les plus vieux, la santé surtout!"

Les anciens rajoutaient souvent à tout ça : "Et le paradis à la fin de vos jours!"

Pour ce qui est des voeux que je veux vous offrir, en plus du traditionnel cité plus haut, j'ajouterai :

Pour l'année 2013, je vous souhaite la compassion pour votre prochain et d'en recevoir lorsque vous en aurez besoin, l'écoute de votre entourage dans les bons comme moins bons moments et de savoir écouter en retour, de trouver un équilibre et un but à votre vie. Pour terminer, je vous souhaite de choyer vos proches et d'être choyé par eux, vous aussi, en passant du temps de qualité ensemble. Jouez, ayez des fous rires, faites des bonnes bouffes, prenez une marche (sur le béton ou dans le bois, peu importe), partez en balade en voiture vers nulle part. Le temps est un bien précieux, aussi bien le partager avec les gens précieux qu'on aime.

Je vous souhaite donc que 2013 vous apporte à tous le positif dont on a besoin, pour enfin goûter au bonheur.

Bonne année!