vendredi 31 décembre 2010

On tourne la dernière page de 2010

Avec un peu de recul et de réflexion, 2010 aura été une année bien remplie et qui a passé à une vitesse folle. Une année qui a débuté sur une note triste, mais dont la partition se sera enjolivée au fil des jours. 2010 aura été une année d'attente, de patience, de changements,de découvertes et d'épanouissement personnel.

Après avoir traversé une période de deuil familial, j'ai trimé dur afin d'amasser des fonds pour mon voyage de trois mois en France. J'ai fais du tri dans mes vieilles affaires encore bonnes, m'en suis débarassé, tout ça afin de quitter mon logement et retourner chez ma mère en prévision de ce beau voyage. Se serrer la ceinture est rendu ma spécialité et je me suis rendue compte que, finalement, je n'en suis pas malheureuse puisque tout ça m'aura servi à atteindre mon but fixé en début d'année.

Après tous les préparatifs et démarches, il a fallu former quelqu'un pour prendre mon poste au boulot. La formation s'est très bien passée je trouve et de façon détendue en plus (malgré les petites pointes de stress). La transition a l'air de s'être bien faite et j'en suis bien contente. Ça m'a permis de partir la tête tranquille vers mes aventures et de tourner la page.

C'est donc le 5 Août que j'ai mis le cap sur la France, pour aller habiter quelques mois chez mon copain Stéphane. On en aura vu de toutes les couleurs et plusieurs coins de pays magnifiques. La suite de l'histoire s'en vient sur le blog d'ailleurs. J'ai ainsi pu avoir une meilleure idée de ce que la vie là bas pourra avoir l'air. Je sais maintenant que mon adaptation pourra se faire sans trop de difficultés. Il y aura bien entendu une période d'adaptation, mais ça fait parti du déroulement normal des choses. De revoir la parenté et les amis de Stéphane nous aura permis de passer de bons moments : le camping, les soupers animés, la soirée karaoké entre voisins, le vide-grenier annuel sous la pluie, Disneyland Paris ainsi que les différentes visite en Bretagne et en Seine et Marne. 2010 m'aura apporté beaucoup de souvenirs à chérir.

De retour au Québec, le retour au travail dans un nouveau poste me demande encore une période d'adaptation physique, mais ça se passe plutôt bien sinon. L'important c'est que j'ai de nouveau un emploi qui me permette d'atteindre la prochaine étape. On recommence donc une autre boucle d'économies à faire pour 2011, dans l'espérance que tout se déroule aussi bien qu'en cette année qui se termine.

Pour la nouvelle année, je vous souhaite d'avoir la santé, le bonheur et la prospérité. Je sais, c'est traditionnel, mais avec ces bases il y a de quoi avancer. Je vous souhaite aussi de passer du bon temps avec ceux que vous aimez. Pas nécessairement beaucoup, mais du temps de qualité, où vous prendrez le temps avec eux. Pour ceux qui ont des projets en chantier, j'espère que vous atteindrez vos buts. Ça rend le coeur léger et un sentiment d'accomplissement qui fait du bien. À la famille et aux amis proches : sachez que je vous aime et que je pense fort à vous tous, même si on ne se voit pas autant qu'on le voudrait.

Fêtez bien et avec modération en cette nuit du nouvel an.
Bonne année 2011!

vendredi 24 décembre 2010

Souvenirs de Noël

Des souvenirs de Noël,on en a tous et ils sont tous différents. Nos perceptions ne sont pas les mêmes d'un membre à l'autre d'une famille. Enfants et adultes ne se rappellent pas des mêmes choses.

Chez nous, on avait la coutume d'aller chez mes grands-parents maternels pour chaque souper de Noël. J'ai d'ancré dans ma tête la chaleur quand on ouvrait la porte d'entrée des appartements où mes grands-parents habitaient,l'odeur des bons petits plats qui mijotaient qui venaient nous chatouiller les narines dès que la porte de l'appartement s'ouvrait sous un "Joyeux Noël!" de grand-maman et les souliers toujours trop froids qu'on enfilait après s'être débarrassé de nos manteaux. "Mets pas tes souliers froids. Tu vas attraper le rhume" qu'elle disait.

Après avoir fait la tournée des becs à tout le monde dans la maisonnée. On se servait une canette de Coke ou de Sprite et les plus vieux avaient droit à la bière (pour les hommes la plupart du temps) ou au café. Les femmes montaient la table pour le repas, pendant que les hommes parlaient autour de la table ou au salon. Les enfants (nous étions trois) jasaient, piquaient des petits cornichons sucrés ou on regardait la télé. Chaque année la même dynamique prenait place, sans que rien, ou presque, ne soit changé. Toute petite, je pouvais admirer le sapin et son petit village miniature pendant un bon moment avant de passer à autre chose.

La table n'étant pas assez grande, ils faisaient deux tablées : une pour les enfants (et quelques adultes tout de même) et une pour les adultes. Bien entendu, de sa chaise berçante, mon grand-père présidait le tout en bout de table et assistait aux deux services. Les assiettes étaient pleines, des fois même trop, mais on redemandait toujours un peu de ragoût de pattes ou de la tourtière. Personnellement, je noyais ma tourtière dans le ketchup Heinz. Je la mange toujours de cette façon d'ailleurs... question de goût C'est aussi un soir de Noël que j'y ai bu mon premier verre de vin...un mini, tout petit. Après le souper, la place était faite pour le dessert : Bûche, tarte fraise rhubarbe, tarte au bleuet, crème glacée... Si c'est pas de quoi se sucrer le bec ça! Tout goûtait bon, tout sentait bon. Les souvenirs olfactifs me reviennent très facilement. Ainsi, aujourd'hui encore, quand je sens les mêmes effluves, je retombe en enfance le temps d'un moment.

Après que tous se soient bien rempli la panse, on passait au salon : petits on avait droit à des cadeaux emballés et en vieillissant à une petite enveloppe avec quelques sous dedans. Je me souviens de quelques Noel où, ma cousine et moi, allions au dépanneur du coin acheter des gratteux. On ne gagnait pas toujours évidemment, mais ça nous faisait passer le temps. Quelques fois, on partait aussi prendre une marche, s'il ne faisait pas trop froid. Histoire de se retrouver entre jeunes et de papoter loin des parents hehehe. On avait aussi droit à la corvée de vaisselle arrivé à un certain âge. Avec tous ce monde, fallait bien s'y coller. Mais à plusieurs paires de bras, ça allait vite quand même. La soirée se déroulait souvent à regarder la télé, jouer au Uno ou encore au Romi. C'était un moment pour se retrouver ensemble pour passer un moment familial.

Aujourd'hui, les choses ont bien changées. Les grands-parents ne sont plus des nôtres, la famille s'est éparpillée. Reste les souvenirs qu'on se rappelle et les odeurs qui nous font se souvenir de ces Noëls pas si lointains.

Je souhaite à tous, famille et amis, de passer un très joyeux Noël. Peu importe avec qui et comment vous fêterez, j'espère que vous passerez un merveilleux moment, dont vous vous souviendrez encore dans plusieurs années. Je vous embrasse tous très forts.
Joyeux Noël!

samedi 18 décembre 2010

Indochine à Bercy (15 septembre 2010)

Bien des gens voient leur vie balisée et marquée par des chanteurs, chanteuses ou groupes musicaux. Dans mon cas, le groupe Indochine est l'un de ces groupes dont la musique ont accompagné divers passages dans la vie. De la fin de mon enfance à ma vie adulte, leurs albums ont accompagnés mes moments heureux, comme mes périodes les plus noires et désemparées. De mon passage de la petite école à l'école secondaire, de ma période de deuil suite au décès de mon père en 1994, jusqu'à la rencontre de mon amoureux actuel, ce groupe a su se tailler une place dans la trame sonore de ma vie depuis maintenant 20 ans.

Dès que mon retour en France a été certain, mon copain Stéphane s'est procuré des places pour le concert clôturant le "Meteor Tour" d'Indochine à Bercy, le 15 septembre dernier. Il s'est fait quelque peu voler la surprise, mais d'un autre côté je l'aurais talonné pour qu'il nous procure ces places. Après avoir envié maintes fois nos cousins Français de pouvoir les voir sur scène, j'allais à mon tour pouvoir en profiter, mais cette fois loin des traditionnelles salles Montréalaises.

C'est donc en fin d'après-midi que nous sommes allés chercher Marie-Line qui nous accompagnait pour l'occasion. Grâce à une de ses connaissances Indochinoise arrivée tôt en journée, nous avons pu avoir des places non loin de la scène, dans les gradins. Pas d'attente, pas de poussage dans la fosse, une bonne vue pour bien profiter du spectacle, on ne pouvait demander mieux. Merci à cet ami d'avoir jalousement gardé ces trois places! L'arrivée s'est donc faite calmement et sans embûche, bien que les voitures se pressaient autour de la salle.

Les admirateurs les plus fanatiques du groupes avaient même été jusqu'à camper devant Bercy la veille afin de se mériter une place dans la fosse. Après avoir déjà fait des heures d'attente à Montréal par le passé, je n'aurais pas été prête à faire comme eux. Disons que j'ai vraiment apprécié par moment avoir un banc pour poser mes fesses lors des moments plus calmes du concert.

En ouverture de spectacle, la première partie était assurée par le groupe Toybloïd, dont fait partie Lou, la fille du regretté Stéphane Sirkis. Personnellement, ils ne sont pas dans mes goût musicaux du tout. Il m'était impossible de distinguer les paroles et bien que parfois mélodique, leur musique apparaissait plus comme un bruit incompréhensible à mes oreilles. J'avais bien hâte de découvrir de quoi ils étaient capable, mais j'ai été somme toute déçue finalement.

Vint ensuite le dernier moment d'attente avant l'arrivée d'Indochine. Cela n'aura pas été trop long. À peine le temps pour enlever les instruments du groupe en première partie et la scène était fin prête à accueillir la tête d'affiche. Dès l'introduction, la foule multi-générationnelle était déjà survoltée à l'idée de passer un bon deux heures, toujours dans la même énergie. J'ai pu voir des fans avec une voix plus pesante à cause de la grandeur de l'auditoire. J'étais loin du concert donné à Québec il y a 8 ans devant à peine quelques centaines de personnes. Toujours est-il que j'avais littéralement la chair de poule dès les premières notes et que, malgré la chaleur qui montait, cette dernière n'est retombée qu'à la fin du concert.

Indochine a su nous faire plaisir (et se faire plaisir aussi je crois) pour le dernier concert de cette tournée. Ils ont revisité leur catalogue et ont été d'une grande générosité. De réentendre des titres comme Dancetaria, Miss Paramount, Le Baiser, Un jour dans notre vie, Des fleurs pour Salinger, Tes yeux noirs ou Juste toi et moi a été une grande joie pour moi. Non pas que je n'apprécie pas les titres plus récents, mais ce sont des morceaux qui me parlent plus et qui m'ont marqué dans le temps. Je ne chante jamais en public, sauf quand je vais en concert, et je me suis bien égosiller durant ces deux heures et quelques. Comme on dit ici, je me suis lâchée lousse! J'ai même eu les larmes aux yeux par moment tellement l'émotion était grande. La soirée a été à la hauteur de mes attentes d'admiratrice. Putain de groupe! ;)

Après ce moment à oublier ce qui nous entoure normalement, en laissant la salle se vider, on a reprit nos esprits doucement en sortant aussi. Arrêt obligé au stand de souvenirs. Je ne repars jamais les mains vides d'un t-shirt. C'est comme une tradition que je me suis faite avec le temps. J'ai aussi mis la main sur des petites boîtes de bonbons à la menthe. Un petit quelque chose pour me rappeler quoi. On a ensuite lentement pris le chemin du retour. Je dis lentement car on a eu des bouchons de circulations pendant un bon moment, le temps de reconduire Marie-Line. Ça nous aura au moins permis de discuter du concert et d'Indochine en chemin ;)

Merci mon chum pour ce beau moment en ta compagnie. Des moments comme ça, ça n'a pas de prix!
Sauf peut-être : les places ;)

Merci à Marie-Line de sa présence aussi. Partager les bons moments entre amis c'est toujours un plaisir :)

297---Souvenirs-Indochine.JPG


lundi 15 novembre 2010

Les flèches à Meaux (Samedi 11 septembre 2010)

296 - Billet Les Flèches du temps - Souvenirs

Parfois, il faut laisser l'imprévisible bercer notre quotidien un peu. Il faut dire qu'avec mon copain ce n'est d'ailleurs pas une option : il faut laisser une large place à l'imprévu. C'est ainsi donc qu'après avoir vu une affiche du spectacle historique de Meaux, nous nous sommes retrouvés à l'Office du Tourisme pour acheter des places, pour le soir même, afin de voir le spectacle à grand déploiement "Les flèches du temps".

À l'ombre de la cathédrale de Meaux, comédiens bénévoles et spectateurs prennent place après le coucher du soleil. Les spectateurs, bien qu'ayant des places assignées, ne sont pas toujours des plus civilisés et jouent des coudes. Pour être franche, j'avais rarement vu ce genre d'attitude dans ce cas de figure!

Après avoir "bravé la foule" (je sais j'exagère ), nous avons pris place. Moi, entre Stéphane et la barrière qui abritait une spectatrice clandestine : une araignée installée dans sa toile, qui regagna son trou après quelques coups de billet d'entrée. Après avoir trouvé l'équilibre sur mon banc qui se baladait d'avant en arrière, j'étais prête à me laisser porter à travers le temps.

Dans le décor de la cité épiscopale, des centaines de comédiens de toutes les tranches d'âge, ont pris place pour nous raconter, en accéléré, l'histoire de la France en à peine une heure trente de prestation. Les tableaux s'enchaînaient à un bon rythme, parfois sérieux, ou rigolos et touchants aussi. Certains nous donnaient une vision plus artistique et léchée des événements réels, ce qui allégeait le propos qui parfois pouvait être plus lourd. J'avoue avoir souri, ri et même eu les larmes aux yeux. Certains diront que le spectacle manquait parfois de finesse ou que des événements relatés étaient à peine survolés, tandis que d'autres ont reçu plus d'attention. Reste que c'est un événement à voir et qu'il permet tout de même de passer une bonne soirée et en plein air en plus. Il va de soi que la veste chaude était de mise, car à la nuit tombée, la fraîche gagne rapidement la foule assise. Pour faire un comparatif, je dirais que c'est un peu l'équivalent de "La fabuleuse histoire d'un royaume" présenté ici au Québec.

Si jamais vous passez dans le coin de Meaux durant la belle saison, renseignez-vous sur le site officiel Meaux spectacle historique.
      
 

jeudi 21 octobre 2010

Paris toute seule comme une grande (dimanche 5 Septembre 2010)

On peut prévoir certaines choses et d'autres sont complètement hors de notre contrôle. Ce matin-là, je pouvais contrôler le fait de prendre le train de 9h19 pour Paris, le tout était de savoir comment je me rendrais à la gare. J'avais "décidé" de partir tôt pour marcher et à la dernière minute, coup de fil de Stéphane me disant qu'il arriverait bientôt du travail et qu'il irait me poser à la gare. Soit. Ça me permettrait de le voir un peu avant cette longue journée et m'épargnerait quelques pas en cette journée se dessinant éprouvante pour mes petits pieds.
Il me dépose donc à la gare de Lizy, j'achète mon billet de transport Mobilis pour la journée et vais sur le bon quai pour prendre mon train. Pas qu'il y ait 10 quais, mais vaut mieux aller dans la bonne direction n'est-ce pas. Le train arriva à l'heure et le trajet devait durer un peu moins d'une heure selon les horaires. Isabelle me passa un coup de fil durant mon trajet. J'arrivai à Paris, Gare de l'Est, toute seule comme une grande, vers 10h25. Il fallait maintenant me rendre à l'appartement loué par Isabelle, dans St-Germain. Le métro ligne 4 me mena à deux pas de son "chez elle", station St-Placide.

Devant l'immeuble, je suis les instructions que Isabelle m'avait dites quelques jours auparavant. J'entre le digicode sans problème, après qu'Isabelle m'ait rafraîchi la mémoire par téléphone. Elle me guida ensuite à la voix vers l'ascenseur. J'entre dedans et mon cerveau a décidé de court-circuiter et de ne pas capter les instructions pour monter au bon étage. Je devais entrer un code spécifique sur le clavier, mais mes neurones refusaient obstinément d'enregistrer la marche à suivre. Je montai donc cinq étages à pieds avant de me cogner le nez sur une porte qui n'était pas la bonne. Je dû reprendre le téléphone pour que mon amie vienne finalement me chercher. J'ai redescendu les cinq étages et nous sommes remonter de six paliers ensemble. Étant donné que l'ascenseur ouvrait directement dans le vestibule de l'appartement, il fallait entrer le code comme il faut... l'appartement n'était pas accessible par les marches. On voit ça dans les films, mais on ne pense pas, en tant que Québécois, tomber sur ce cas de figure un jour.

En voyant le visage de mon amie, j'ai vu que ce n'était pas la grande forme. D'ailleurs son appel m'avait mis la puce à l'oreille un peu plus tôt. Elle me fit visiter l'appartement, directement sous les toits, très clair et plutôt design. Un joli petit cocon. Après avoir jaser un peu, nous sommes allées faire quelques courses pour la journée. Comme nous étions dimanche, il fallait faire vite tout de même car la plupart des commerces ferment en début d'après-midi. Un petit tour au marché bio à deux rues de l'appart ne nous inspirera pas trop. Nous nous sommes retrouvées dans une petite épicerie bien plus pratique pour les courses de dernières minutes. Nous sommes ensuite rentrées pour préparer le repas et continuer la conversation. Plus le temps passait, plus le visage d'Isabelle se fermait : la migraine était installée. Nous avons donc convenu qu'il serait mieux qu'elle se repose durant l'après-midi. Ainsi, nous pourrions profiter un peu de la soirée, si la situation se tassait un peu.

Avant que je parte en balade, Isabelle me laissa en main sa Museum pass qui se terminait le jour même, mais dont elle ne se servirait pas. Ça m'aura fait épargner quelques Euros, ce qui n'est pas négligeable lorsqu'on effectue plusieurs visite dans la journée. Je laissai donc mon amie prendre du repos et je retournai me promener au soleil. Je décidai de ne pas trop m'éparpiller et de visiter ce qui se trouvait autour de la station de métro Cité.

173 - Station de Métro Cité - Paris
Station de Métro Cité

Je dois avoir un radar intégré assez puissant, puisque je n'ai eu aucune difficulté à trouver les monuments que je voulais visiter... ou peut-être est-ce le fait que tout est indiqué sur des panneaux pour que les touristes s'y retrouvent? Toujours est-il que je ne me suis pas perdue. J'ai donc débuté ma tournée par la Sainte Chapelle.
Le monument n'est plus accessible directement par la rue de nos jours et se trouve dans la cour du Palais de justice. L'entrée se fait donc au même endroit que l'entrée publique du Palais de justice. Ce qui, comme lors de mon passage, peut mettre en rogne ceux qui ne sont pas touristes. Un père devant assister à une audience pour son fils a monté un peu trop le ton de voix... c'était moins une pour que le gendarme sorte de ses gonds!
Le scan et le détecteur de métal passé (si, si comme à l'aéroport), on pénètre alors dans une cour intérieure, la Sainte Chapelle étant à notre droite. La chapelle n'est pas des plus garnie. Dans la chapelle basse, une statue de St-Louis et des vendeurs de souvenirs. Quand à la chapelle haute, les carreaux de vitraux sont présentement l'objet d'une restauration, dont la demie est déjà complétée.

131 - Sainte Chapelle - Paris Devanture Sainte Chapelle
136 - Statue de Saint Louis dans le Choeur - Chapelle BasseSainte Chapelle (Statue de St-Louis)
139 - Chapelle Haute - Sainte Chapelle - ParisSainte Chapelle (Vitraux Chapelle haute)
Suite à cette visite plutôt courte (une demie heure dans mon cas), je me suis dirigée vers le parvis de la Cathédrale Notre-Dame, située à quelques minutes de marche à peine de la Sainte Chapelle. Avant de visiter la cathédrale, j'ai été jeté un oeil à la Crypte Archéologique du Parvis. Dans cette crypte nous pouvons y voir les vestiges du Paris originel, à l'époque romaine. Pierres, anciennes fondations, canalisations et explication sur les rues qui passaient par cet endroit en un temps plus ancien sont au menu de cette visite.

141 - Entrée de la Crypte archéologique du Parvis de Notr Panneau d'entrée Crypte Archéologique
144 - Crypte archéologique du Parvis de Notre-Dame - Paris
Crypte Archéologique
146 - Crypte archéologique du Parvis de Notre-Dame - ParisCrypte Archéologique

Beaucoup d'informations sont présentées et expliquées au public, parfois avec l'aide de maquettes. Intéressant de découvrir les dessous du parvis.

En ressortant au soleil, sur le parvis, j'ai été accueillie par des centaines, voir des milliers de bulles de savon soufflées par des gens se trouvant sur le parvis. Sans doute un vendeur ambulant qui profitait de l'attroupement assez constant à cet endroit pour augmenter son chiffre d'affaire. Aussi, j'ai constaté qu'il y avait beaucoup de Québécois en ce début septembre à Paris. Je me suis retrouvée en file pour entrer dans la Cathédrale au milieu de gens de chez moi. Ça fait étrange après un mois loin de la maison.

J'avais déjà mis les pieds dans Notre-Dame lors de mon premier passage en France en 2002, mais avec un appareil photo 35mm je n'étais pas très douée. J'avais été tellement déçue en voyant mes photos à l'époque... vive le numérique! Cette fois-ci, j'ai pu capter ce que mes yeux ont vraiment vu. L'endroit est aussi grandiose qu'à mon souvenir. Je ne me suis pas risquée à faire la visite des tours...ça viendra bien un jour.

140 - Cathédrale Notre-Dame de Paris - Paris
Facade Notre-Dame de Paris
153 - Devanture - Cathédrale Notre-Dame de Paris - ParisDétail facade Notre-Dame de Paris
160 - Intérieur - Cathédrale Notre-Dame de Paris - ParisL'une des nombreuses chapelles de la cathédrale
161 - Intérieur - Cathédrale Notre-Dame de Paris - Paris
Imposante statue
162 - Rosace - Cathédrale Notre-Dame de Paris - Paris
Rosace
163 - Choeur - Cathédrale Notre-Dame de Paris - Paris (2)
Choeur de Notre-Dame

L'après-midi tirant à sa fin, je me suis dis qu'une dernière visite serait encore possible et je me dirigeai donc vers la conciergerie. Oui la conciergerie est à deux pas seulement de la Sainte-Chapelle visitée au début, mais en même temps ça m'aura permis de boucler la boucle. Je passe donc une nouvelle fois un contrôle de sécurité : on me demande d'ouvrir mon sac à main et de laisser mon téléphone portable sur le bureau pour passer le détecteur de métal. Je récupère mes biens et descend les marches pour débuter la visite. Une visite guidée libre vient de commencer, je me suis donc jointe au groupe. Malheureusement, la guide ne démontre que très peu d'intérêt pour ce qu'elle récite et son ton finira par me désintéresser complètement. Je quitte donc le groupe après dix minutes pour explorer ce monument par moi-même.

La conciergerie, ancienne prison au temps de la révolution, fut entre autre le dernier toits sous lequel Marie-Antoinette séjourna. C'est le fait le plus connu de cet endroit bien entendu. Sa cellule n'existe plus et a été reconstituée ailleurs afin d'expliquer au public les mesures de détentions de la Reine. Sa cellule se trouvait dans une partie de la chapelle expiatoire à l'origine.
166 - Conciergerie - Paris
Arches dans la Conciergerie
169 - Chapelle Expiatoire - Conciergerie - ParisChapelle Expiatoire Conciergerie
Sans guide pour expliquer les différents lieux et les anecdotes sur la Conciergerie, le tour se fait assez rapidement. Je dois dire que les monument et musées que j'ai visité ce jour là valent la peine d'être vus, mais pour profiter de vos visites sans avoir l'impression de vous faire avoir sur les prix d'entrées, mieux vaut avoir un Museum pass que de tout payer individuellement. Un pass de deux jours est à 32€, donc on entre vite dans son argent. Ma demie journée m'aurait coûtée à elle seule 15€. Tenez vous le pour dit si vous passez par Paris ;)

En sortant de la Conciergerie, j'ai passé un coup de fil à Stéphane pour lui dire que je passerais la nuit à Paris avec Isabelle. Histoire d'être certaine qu'elle passe bien la nuit à cause de son état ,de l'aider avec sa valise, qui pèse presque aussi lourd qu'elle, le lendemain matin et l'aider à remettre l'appart en état avant de quitter aussi.

174 - Vue sur les Toîts - Paris
Vue sur les toîts de Paris
Je suis ensuite retournée à l'appartement vers les 17h30 comme convenu. À mon retour, Isabelle était déjà éveillée, m'avait l'air un peu mieux et elle voulait qu'on puisse prendre un peu d'air avant le dîner du soir. On s'est donc baladées un peu dans St-Germain et elle décida de prendre un taxi pour la suite. Selon elle, je ne pouvais pas passer par Paris sans avoir fait la file pour des macarons chez Ladurée. Isa avait bien raison. Ces macarons méritent amplement leur réputation avec leur goût très fin. Nous avons ensuite repris un taxi pour rentrer. Nous avons finalement opté pour une pizza ce soir-là. Personnellement, j'ai trouvé ma première pointe bonne, mais le fromage n'étant pas assez cuit à mon goût, j'ai rapidement viré les ingrédients pour ne manger que la croûte.

Après avoir englouti mon grand macaron à la framboise et une demie bouteille d'eau gazeuse, il était temps de rapailler les effets d'Isabelle pour la mise en valise. De mon côté, je me suis attaquée à faire la vaisselle. Le dodo qui s'en suivit était plus que mérité après cette journée, surtout que le levé se ferait vers les 4h du matin.

Bien que la nuit ait été courte, elle m'a tout de même remise sur pied. Pendant qu'Isabelle prenait son petit déjeuner, je pris connaissance des horaires de trains pour me rendre au moins jusqu'à Meaux. Vers les 5h40, après avoir terminé la vaisselle, finalisé la valise et vidé le frigo, nous avons descendu les poubelles et ensuite ce fut le tour des bagages. Le taxi demandé la veille par téléphone était au rendez-vous. Le chauffeur a mis la valise dans le coffre, j'ai fais la bise à Isabelle en lui souhaitant un bon retour et nous sommes parties chacune de notre côté, elle pour l'aéroport Charles de Gaule et moi pour la Gare de l'Est.

Je suis donc montée dans le train, après être passé par la salle de toilette payante. Étonnant tout ce monde qui travaillent à l'extérieur de Paris tout de même. Arrivée à Meaux assez tôt, je passai un coup de fil à mon copain pour qu'il passe me chercher après son boulot. Il arriva vers les 9h, après avoir traversé la ville jusqu'à la gare. Après avoir mangé un morceau, une fois arrivés à la maison, le sommeil l'a emporté une fois de plus. Il faut dire que, contrairement à mon chum, quatre heures de sommeil est nettement insuffisant. Je perdis donc ma journée du lundi à ronfler, mais ça aura largement valu la peine. Le dimanche avec Isabelle m'a fait vraiment plaisir et m'a recentrée un peu aussi. Surtout, de la retrouver hors de notre contexte habituel a été très agréable. Alors à quand le prochain voyage où on se rejoint ma chère?

mardi 28 septembre 2010

L'automne se réveille...

et moi aussi... suite à une petite pause de blog, je vais revenir avec d'autres récits sous peu. Pour expliquer un brin, j'ai pris le temps d'être avec mon amoureux qui a dû passer du temps à la maison. Travail de nuit + un trou dans la chaussée à la descente du camion = entorse à la cheville Du coup, on a dû mettre de côté les sorties, mais ça nous a permi de passer plus de temps de qualité ensemble. Un mal pour un bien Pour ceux qui s'inquièteraient, le "malade" va bien et se remet doucement de sa mésaventure nocturne. D'ici une à deux semaines, il devrait être remis assez pour ne plus clopiner.

Pour terminer, les sujets en préparation sont : un jour à Paris, les flèches de Meaux, Bercy et le weekend anniversaire.

À très vite !

lundi 13 septembre 2010

La genèse de Versailles (Jeudi 2 Septembre 2010)

À l'origine petit pavillon de chasse, Versailles devint sous Louis XIV le palais que les touristes connaissent aujourd'hui. L'idée de développer ce château et ces jardins grandioses est née dans la tête du Roi Soleil après avoir visité le château de Vaux le Vicomte, qui a été érigé à la demande de Nicolas Fouquet. Pour l'histoire complète, car un peu complexe à résumer ici, je vous invite à visiter le site officiel de Vaux le Vicomte.

Ce château est plus modeste, tant par la grandeur du bâtiment que par l'étendue des jardins, mais reste tout de même la référence que le Souverain amènera à Versailles avec : l'architecte Louis Le Vau, le paysagiste André Le Nôtre, ainsi que le peintre et décorateur Charles Le Brun. Ces derniers ayant dressé un chef d'oeuvre, devront en créer un nouveau, devant répondre aux attentes du Monarque.

Les images valent bien plus que des mots pour décrire ce genre d'endroits. Je vous laisse donc sur ces quelques photographies de Vaux le Vicomte... en attendant d'aller visiter Versailles.

089 - Château de Vaux le Vicomte - Maincy

091 - Château de Vaux le Vicomte - Maincy

096 - Chambre du Surintendant Fouquet - Château de Vaux le

097 - Château de Vaux le Vicomte - Maincy

100 - Château de Vaux le Vicomte - Maincy

120 - Buste de Le Nôtre - Château de Vaux le Vicomte - Ma

122 - Jardins - Château de Vaux le Vicomte - Maincy

126 - Moi - Château de Vaux le Vicomte - Maincy

130 - En Repartant - Château de Vaux le Vicomte - Maincy

jeudi 9 septembre 2010

Fête de la moisson (dimanche 29 Août 2010)

Malgré une journée fraîche et nuageuse, Stéphane et moi sommes allés à la fête de la moisson à Provins, le 29 Août dernier. J'avais déjà vu Provins l'an dernier, à l'automne, et on aurait presque cru qu'il s'agissait d'une ville fantôme. L'ambiance était tout autre cette fois-ci et c'est juste pour dire si on ne se pilait pas sur les pieds.
Après une heure de route, la voiture trouva sa place dans un grand champ qui servait de stationnement pour l'occasion. L'emplacement était éloigné des festivités un peu, mais un peu de marche ne fait jamais de tord. En nous rendant à l'entrée des remparts, un couple qui quittait nous a généreusement offert leurs billets. Quand on peut sauver 16€, ce n'est pas de refus!
L'événement de la Fête de la moisson fêtait cette année son 40e anniversaire. Au programme de la journée il y avait : parade, théâtre (enfin, plus de l'impro amateur qui faisait participer le public... pas trop mon genre je dois dire), danse traditionnelle, amusements de foire (toutous, carrousel, et plus), présentation de voitures et tracteurs anciens, étals de produits du terroir. Il y en avait pour tous les goûts et tous les budgets. Nous avons été sage sur les dépenses et avons opté pour une bouteille de jus de pomme fraîchement pressé, qui nous est revenu à un tout petit Euro seulement! Je vous laisse quelques images, en attendant mon prochain billet. À bientôt!
071 - Fête de la Moisson - Provins
Figurants dans le défilé, ainsi que quelques spectateurs
073 - Fête de la Moisson - ProvinsIci, des boulangers qui aiment bien gaspiller un peu de farine sur la gueule des gens... j'ai goûté à leur médecine!
077 - Fête de la Moisson - Provins
Tour César
078 - Fête de la Moisson - Provins
Costume traditionnel Briard

079 - Fête de la Moisson - Provins
Poupées d'une autre époque

082 - Fête de la Moisson - Provins
J'ai même retrouvé les sabots de Patricia à côté d'un panier d'osier!

085 - Fête de la Moisson - Provins
Une charette pressoir

088 - Fête de la Moisson - Provins
Tous les véhicules en exposition portaient cette plaque

samedi 4 septembre 2010

Un petit monde à part (vendredi 20 Août 2010)

Autant on a pu avoir de la fraîcheur dans l'air depuis mon arrivée, autant le 20 Août la chaleur était quasi insupportable. D'autant plus que la journée se faisait en extérieur pour la majeure partie. Dans le merveilleux monde de Disney, on oublie presque cette contrariété de chaleur. Les yeux ronds comme des billes, on s'amuse et on se promène.
032 - Entrée du Grand Parc - Disneyland Paris L'entrée du parc principal

029 - Château de la Belle au Bois Dormant - Disneyland Par
Ma future demeure
Encore une fois j'étais accompagnée de mon chum et de notre amie Marie-Line. Cette dernière connait le parc presque comme le fond de sa poche. Enfin, elle se retrouvait mieux que si moi j'avais utilisé la carte du parc pour aller d'une attraction à l'autre. Merci à elle de nous avoir servi de guide et d'avoir pu nous faire épargner sur le billet d'entrée, c'est très apprécié!
Sur le parc principal, nous avons commencé par la maison hantée, vraiment bien faite! Pour mes amis Québécois, vous vous souvenez de la vieille maison hantée toute décrépie de La Ronde où on voyait tous les trucages? Eh bien elle était plus que décrépie et désuette! Rien à voir ici, car le visiteur se fait littéralement mener par le bout du nez et se fait engloutir... Pas de là à avoir peur, mais c'est un divertissement vraiment bien fait!
Il y eu aussi, le Train de la mine, petite montagne russe qui m'a donnée presque autant de sensations que Le Monstre de la Ronde. L'effet réside dans la vitesse et non dans la grandeur du manège en lui-même. C'est le genre de manège que je referais bien 2 ou 3 fois de suite, mais étant très populaire, si on ne veut pas attendre longtemps, on doit se prendre un billet coupe-file. Sinon bonjour l'attente qui est dans les 60 minutes et plus assez tôt en journée! Nous avions donc pris le fameux billet coupe-file et avons décidé d'aller faire une autre attraction en attendant l'heure indiquée sur le billet. Le choix s'est porté sur l'attraction Pirates des Caraïbes, qui est une activité aquatique. Le bateau se promène plus ou moins vite sur l'eau et quelques descentes plus ou moins vertigineuses attendent les promeneurs. Cool et rafraîchissant en cette journée chaude.
Une chose que j'apprécie chez Disney à part le côté "retombons en enfance le temps de la visite", c'est l'attente pour les attractions qui est pensée. On attend facilement 30 à 45 minutes pour certaines attractions, si ce n'est pas plus, mais on n'attend pas dans des cordons ou des chaînes. L'aire d'attente est aménagée, dans plusieurs cas, dans le même état d'esprit que l'attraction en elle-même. Ça rend le tout moins morne et en bonne compagnie, ça passe encore plus vite
Le temps filant quand même rapidement, l'heure de casser la croûte était arrivée. Arrivés juste avant le rush du midi, on a eu le choix de l'emplacement pour poser nos plateaux. Nous avions opté pour un resto qui se trouvait dans une grange. À l'ombre et à la fraîche pour engloutir nos repas. Évidemment, ce n'était pas de la haute gastronomie, vous vous en doutez bien... bienvenue en milieu Américanisé!
L'après-midi débuta doucement en optant pour une promenade sur l'eau encore une fois. Cette fois-ci, beaucoup moins mouvementée comme balade : La maison des poupées. C'est joli, c'est joyeux, c'est coloré, mais surtout c'est trop facile de retenir la p'tite chanson qui joue du début à la fin aussi! Pour ceux qui ne connaîtraient pas, allez sur Youtube et tapez "It's a small world" et vous aussi vous l'aurez en tête toute la journée!
Nous avons enchaîné avec Star Tour, qui est un manège inspiré de Star Wars. Vous vous rendez sur une autre planète, conduit par un androïde conducteur débutant, ce qui rend le voyage houleux et saccadé globalement. Si vous êtes sujet au mal des transports, ou bien que vous venez de manger, cette attraction est à éviter totalement. Même moi j'avais une légère nausée à la sortie! Un rafraîchissement et un tour de petit train sur rail plus tard, nous étions à l'entrée principale de nouveau.
031---Petit-Train---Disneyland-Paris.JPG
Par la suite, nous avons tous les trois mis le cap sur le parc Disney Studio, tout à côté, pour continuer notre visite. Nous y avons fait 3 attractions : Armageddon (les effets spéciaux), le train du studio pour les effets spéciaux et le Rock and roller coaster avec Aerosmith.
033 - Entrée Parc Disney Studio - Disneyland Paris
Armageddon visait surtout à faire vivre au public, l'expérience que peut vivre un acteur sur un plateau ou doit prendre place des effets spéciaux et démontrer que malgré la préparation, l'acteur y va aussi sans doute parfois de façon très naturelle pour ses réactions. Le train nous montraient aussi des effets spéciaux, mais plus au niveau prise de vue car les effets étaient à plus grand déploiements. Au feu se mélangeait l'eau et la sensation d'un grand tremblement de terre. Intéressant de voir comment ils font le tout!
037 - Stéphane - Disneyland Paris 038 - Marie-Line - Disneyland Paris
Steph et Marie-Line durant la balade
042 - Effet de feu et explosion - Disneyland Paris Explosion, mais le déluge n'est pas loin!
Nous avons terminer le tour des attractions avec le Rock and Roller Coaster avec Aerosmith, qui d'après moi, termine très bien une journée comme ça. La propulsion du départ est hallucinante et les rails du manège sont dans le noir pendant qu'on entend la musique directement dans nos oreilles. Ça décoiffe... j'ai dû refaire ma queue de cheval après être descendue! Un autre manège que j'aurais bien refait si le temps n'avait pas manqué.
Il était presque 19h et nous sommes retournés au parc principal pour voir la parade de début de soirée. Moi qui était déjà crevée, malgré que la parade était jolie et pleine d'entrain, j'aurais volontier été poser mon derrière sur une chaise Voici un résumé en image de ce qu'on a pu voir de notre emplacement. Vous êtes chanceux, vous n'aurez pas les cris de la "Mama" Italienne qui me décapaient les tympans... comme si sa fille, assise devant nous par terre, ne reconnaissait pas ses personnages favoris, il fallait qu'elle lui hurle les noms! Ceux qui connaissent ma patience savent que même une Italienne gueularde s'y colle pas quand je fais mes gros yeux Elle a fini par comprendre le message et calmer ses hardeurs, non sans lâcher un énorme soupir. Un peu de savoir vivre fait pas de mal en société. Bon visionnement et au prochain billet!
049 - Parade - Disneyland Paris
051 - Parade - Disneyland Paris
053 - Parade - Disneyland Paris
056 - Parade - Disneyland Paris

062 - Parade - Disneyland Paris

064 - Parade - Disneyland Paris
La parade n'aurait pas été complète sans les princesses et leurs princes respectifs